| Il va pleuvoir... |

Intéressant...

Ô, rien de bien beau mais simplement la satisfaction de sentir l'odeur des louves et les parfums éphémères de l'autre clan. Cette satisfaction. Comme si on pouvait l'appeler ainsi alors que le sentiment tiraillant les entrailles du loup n'était que désir de voir et envie d'une solitude froide et distante, comme si, simplement parce qu'il le voulait, aucun loup ne pourrait passer ses propres frontières. Mais c'est frontières n'avait de départ que dans le creux de sa tête, traversant des endroit bien lointains pour barrer la route et se faire une raison des crocs qu'il présenterait au importuns. Bonjour, voici canine numéro 1 et canine numéro 2, bien qu'accompagnées de leurs 40 autres soeurs, je ne vois guère l'utilité de toutes vous les présenté si elles n'ont d'autres desseins que de se planter dans votre nuque.

Il est faux de croire que Vey serait capable d'un tel geste, tuer n'étant dans sa nature que pour le bien être de son estomac. La viande du loup n'étant point comestible ou tout simplement peu ragoûtante, il délaissait ces fantasmes de sang et de douleur à d'autres qui chercherait une victime au lieu d'un ami.

Bref.

Vey était là, observant l'eau limpide de son regard de bronze. Ses iris presque rouges flamboyaient au beau milieu de la forêt noir recouvrant ses traits. Ils posaient sur le monde un regard critique mais bien peu expressif, surtout en ces moments où son esprit vaquait à autre chose qu'à la mise en garde. À autre chose. Bien sûr.

Il réfléchissait à comment l'eau était stagnante bien qu'elle soit potable. Il laissait son esprit frôler l'idée d'une chasse et caresser l'idée d'une louve tout près. Ne voyant ni gibier tout près et encore moins de louve naïvement perdue à ses côtés, il se laissa aller dans la contemplation d'une eau qui n'avait rien d'intéressant mais qui conférait à son esprit un petit instant de simple...contemplation. C'était le mot. Oh et puis, que c'est ennuyant. Jamais rien vu d'aussi...bha. Sur ces mots murmurés au creux de son esprit, il se leva, transportant son corps drapé de noir sur les berges, poussant maints gallets et levant le regard sur un ciel cotoné de gris. Il va pleuvoir...

( Bonne chance pour tout lire ^^)

Une vaine tentative de chasse sur une loutre sans détours , elle lui avait passés entre les pattes d'une façon si naturelle que je n'en vint à me demander si je n'avais pas l'humeur heureuse pour avoir rater une proie ... Habitude que je n'avait guère l'intention d'adopter , mais il faut dire que l'estomac ne m'envoyait plus ce message constant de faim que j'avais repu quelques heures plus tôt , tuant un jeune chevreau dans la fleur de l'âge .. J'avais dévorer son coeur sans toutefois me demander si ce coeur avait apartenu à une bichette , et si oui , je ne l'avais que plus goulument savourer .. Une cruelle lueur passa dans ces iris terne et vide qui était les miens , mais non un cruel plaisir , là n'était donc plus cruauté mais indifférence , car un cruel plaisir reflétait entre autre une satisfaction presque orgasmique à vautrer une bête encore toute chaude au creux de sa gorge , à acculer une bête dans un endroit piège et lui faire la peau tout en frissonant sous ces petits chignement de révoltes .. Et je n'avais jamais vécu ce vil plaisir , simplement une banalité toute simple à tuer gibier et loups .. Ils n'était que tâche , l'un à ma vie et l'autre à ma faim .. Il y avait dans mon métier une routine insoupçonné j'en aurait surpris plus d'un à ces mots mais c'était la que l'accablante réalité .. J'était meurtrière , ni plus ni moins , et je n'y trouvait là aucun mérite ou fabulation à ma vie , je n'étais qu'un être normal qui tuait d'autres êtres normals à des fins politiques ou démocratiques , un outils du parlement canin qui fait la besogne à la place d'un autre haut placé qui lui ce rejouit du résultat sans ce demander qui l'a fait et comment , et si la victime avait bien fait ce crime et s'il avait une famille , j'était donc , il paraît bien , la destinataire de ces questions mais je les déclinais vainement de mon esprit , sinon je serais en proie à des fantômes de l'année derniere ... Mais quand j'y pensait avec une tête de louve sure et faite je me dit que était là une vie bien triste pour une louve d'un an et quelques mois à peine qui déja avait plus de victimes à son compte qu'un érudit de guerre et que je ne vivait que pour la justice qui encore était injuste , c'était un perpétuel cycle de vie que personne ne tentait de vaincre , je n'en ferais pas plus , cela m'était clair , mais je croyais toutefois que si quelqu'un y metterait son pied la roue pourrait peut-être changer de focus ... Mais si il en était ainsi , je serais la punie , étant considéré dans les vil êtres que ce monde constituait .

Vous vous dites alors que cela est de longues réflexions pour une louve de mon âge , maintenant étendu sous les racines d'un arbre creux , criblant du regard un loup fait , en âge de me dicter des ordres qui semblait bien zen dans cette journée plus que terne qui d'une façon vague semblait jouer sur mon humeur qui m'était presque heureuse ...Mais quelles idées je me fait , je ne sais rien de ce sentiment infamne qui pendant une fraction de seconde je crut être mien , je ne suis que la dépouille d'une meurtrière-espionne qui n'a d'autres envie de de s'assoupir pour ne jamais revenir .

Je le regarda et me dit que lui avait echo d'une vie simple et heureuse , comme au fond , même si je le masquait j'enviait au autres , mais cela ne m'était pas accorder car en jalousant nous nous exposion à un danger potentiel celui de vouloir devenir , de vouloir suivre les traces , et je devait me faire aucunes illusions tant qu'à une vie possible , de toute façon aucun loup sain d'esprit ne voudrait d'une louve noire d'aspect macabre le regard frivolant entre la mort et la souffrance cruelle ...Je n'étais pas comme elle , svelte blancharde louve sans un brin de méchanceté qui d'un coup de tête savait faire tomber les loups comme des mouches sans tête dirigés par leur entrejambes pour procréer ... Non ce n'était pas pour moi ...Enfin ...C'était plus pour me convaincre qu'une affirmation ...

Je le fixa donc sans un mot , sans la crainte d'être découverte , je n'avait jamais craint bien que j'aurai apprécier , plusieurs choses manquait à ma vie d'une certaine façon et pesait lourd sur un coeur déja vide comme le mien ..

| J'ai fait de mon mieux <3 |

Ô, et si l'on devait tomber dans les longs récits sur soi-même, Vey était l'être bien placé pour constituer un adversaire en mots. Il pouvait apposer sur la têtes d'évènements déchus maints titres qui en somme constituait un roman sans grandes plapitations pour un coeur aussi noir que la vagabonde le jaugeant de son repair secret. Alors soit, parlons d'un temps qui ne mérite pas de récit et encore moins une quelquonque doléance venant d'un autre qui voudrait malheureusement comprendre. Ce temps que ce grand Vey se résignait à relater et même dans les mots de sa narratrice, il n'irait pas plus loin car jamais sauf à celle qu'il tenterait d'aimer il n'ouvrerait la bouche sur un passé qu'il se gardait fervement sien. Et comme s'il était un tantinet apte à aimer. Loin de lui l'idée de brusquer les coeurs enflammés et les papillons blottis dans le ventre des demoiselles, il n'avait que pour but dans la vie de passer au travers des moments dont le destin le chargeait, si au moins le destin avait l'affront d'exister. Suite a ces voluptes verbales, l'on en vient à se demander ce en quoi un loup comme lui croyait. N'accordant aucun temp de réflexion à ceux voulant louanger les divinités ou chanter les bienfaits d'un destin, il n'accordait point plus d'attention à l'amour, à l'amitié et à la famille, chose n'ayant jamais fait partie de son quotidien.

Car il est un loup bien simple.

N'allez point chercher dans un coeur comme le mien un trouble qui n'existerait pas dans le vôtre car je suis simple, bien plus que vous. Votre problème, c'est que vous voyez les chimères s'entremêler sur les lumières de mon personna car vous vous habituer à plus compliquer que tout alors que...hum...la simplicité n'est qu'omniprésente.

En d'autres mots, un loup se crée lui-même, créant ses louanges et ses rumeurs, fesant naître de ses propres envies un personnage qui s'avère être lui-même pour en faire trembler de peur un autre ou faire naître l'admiration dans le regard d'un interlocuteur perdu. Car ce qui est simple et cocasse en soit, c'est de trouver le vrai être que nous sommes alors qu'il est tout près. Dissimulation. Affront à nous-mêmes. Tant de mots pour dire que, si cette louve au passé cruel lui aurait fait don de sa voix pour expliquer ce que des mots ont soufflé dans un vent d'inspiration...il aurait compris et laisser son esprit caressé par les voluptes de sa voix et ennivré par son parfum.

Alors revenons simplement à ce que faisait Vey, posant une pattes après l'autre sur une berge aux multiples joyaux sous formes de gallets. Il écoutait d'une oreille scrupuleuse le frôlement de la pierre sur l'autre et les marques blanches que la dominante avait laissé sur le gallet ci-dessous, trop tôt lavée par l'eau poussée par un petit vent d'une douceur qui allait bien à l'encontre de l'espionne épiant ses mouvements. Vey voyait en l'affligée qui l'épiait quelque chose d'intéressant autant qu'un gallet sur cette berge. Ô mais pas d'offenses car il faut dabord connaître la définition d'intéressant d'un loup étrange comme le dénommé Vey que voici. Un gallet. Tout petit bout de pierre arrondie transporte une histoire bien désuette mais malheureusement perdue. Il a traversé l'histoire. Voilà quelque chose d'intéressant. Et cette louve qui avait une histoire, qu'il ne connaissait pas, dégageait quelque chose qui le poussait à aller la ceuillir d'entre ses ronces.

Mais je n'en ferait rien.

Dans un craquement lugubre, le ciel sembla s'ouvrir sur son monde et la pluie se déversa en trombe sur la plage qu'il foulait depuis peu. Le nez levé vers le ciel, il laissait les trombes d'eau couler sur son pelage assombri, les yeux clos. S'il existait un être lové au ciel, il caressait son corps de canin d'une main humide ce qui fit naître sur les traits du loup noir un certain sourire ou du moins un rictus de bien être quand cette pluie redoubla d'intensité et qu'un jet de lumière cingla le ciel et les oreilles du mâle d'un tonnerre furieux.

Maintenant...il pleut.

( Et ben tu ma surpasser OO XD encore et encore )

Je n'étais ni ménestrelle colportant les nouvelles parmis maintes chansons plus loufoques l'une que l'autre , mais j'avais autrefois vu le travaille acharné que ceux -çi donnait à leur cause , des heures de pensées , de mots affabulés voletant dans l'air de ces poêtes mélodieux , souvent oméga car c'était bien connu que les trémolos doux de ceux-çi était ma foi plus beau que n'importe quelle voix de cet ère , rien ne surpassait tant en beauté qu'en émotions la voix d'un de ces intrépides voyageurs qui de leurs vies cherchait la nouvelle , une chanson qui les rendrait célèbre , qui de leur vivant tout comme quand leurs carcasse se ferait bouffer par les vers , seraient connus et reconnus comme grand et grande ménestrelle et se mériterait place dans le temple de la renommée de cette communauté complexe mais suave , surtout qu'ils étaient aptes à tout voir ,car loin d'être au dessus de tout , ils étaient en dessous des plus faibles , piller par les fortuites et moquer par les malades vieillard , il n'était rien , mais tant de choses , car leurs secrets cachait une chanson apaisante ayant le don de calmer quiquonque ... Pourquoi m'entendez vous citez leurs exploits ? Car ma mère en fut une ... Une Oméga , fille d'oméga je n'était rien , mais tout à la fois , car maîtresse vit tout le potentiel en moi , non cette voix mais ce corps frèle svelte qui passerait inaperçu dans la nuit noire , sauf sur un tapis de neige où il est difficile pour moi de paraître pour un tronc , en perpetuel mouvement ... Mais bref , encore une tranche de vie bien racontée qui finira dans l'abîme de mon coeur , mais il me fait du bien à moi de la citer , tout en regardant ce mâle non sans gêne , je ne tentais guère de l'espionner plus que cet arbre , là bas , j'étais là tout simplement en tant que témoin du temps , témoin de l'histoire de la vie , qui dans un coin isolé du monde , là où se trouvait deux loups , sous une pluie torrentielle , fesait avancé cette histoire sans le savoir , et peut-être d'une façon ....Simple

Mais qu'est le mot simple ? que veut dire simple ? Que comprend simple ? Personne n'a t'il tenter de baser les faits sur ce mot ? Je crois que tout dépend d'avec quoi on le compare ... Pour un dominant, une louve d'une allure saine , sans toutefois le regars pétillant mais vaillant , peut paraître bien banale , banale étant le synomyme de simple ..Mais pour un pauvre jeunôt éperdu de cette louve , elle a pu émoir en lui des horizons inconnus du dominant , lui pourrait voir en elle une louve supérieure à tout .... Voilà pourquoi je cite que Simple n'est pas un repère , car chaque personne à sa façon simple de voir les banalités de la vie comme des simplicité qui se présente à eux ... Et pourtant , ces choses sans grand attrait on tout à donner , car chaque chose est en ce monde pour émouvoir mais aveugle comme des taupe nous les niont et continuons notre chemin sans un souffle d'émotions pour ces choses ..

Vous me trouvez probablement bien artiste pour une meurtrière ... Peut-être est l'âme d'une " qui aurait pu être ménestrelle " qui respire en moi tel l'arbre qui aurait pu être droit et haut à été déformé par l'autre arbre en putréfaction qui , tomba sur le début d'arbre encore jeunôt et qui en grandissant prit la forme racorni d'un saule sans splendeur , tel était-je ... Un avenir détourné pour le bien de personne et de tous ...

La pluie tomba , en fine goutelettes sur mon museau , il faut surprend que je spécifie que j'étais sous un arbre et que l'eau ne me touchait que peu ... Puis je fixait ce loup qui non loin de moi semblait prendre plaisir à cette douche naturelle , douce et fine ... Mon regard vide le fixa et puis je décida d'aller reprendre la terre qui me couvrait en boue sur le sol feuillu ... Je me leva , et marcha d'un pas décidé et incertain , entre la décision de le voir et l'envie d'être seul ...Il y avait longtemps que j'avais parler à un loup sans le mandat de le tuer , je le fixa donc avidement , d'une pureté mesquine sans pensées , juste comme cela ..

| Rhâ, j'ai pus d'inspiration et il faut que j'aille manger.
J'te répondrais le plus tôt possible.

I love you

|

[ Parfait ^^ Raa moi je suis inspirée à bloc xD ]

| J'ai encore mal à la tête. On va juste
espérer qu'on va passer une belle aprèm pareil ! Razz

|

[ Pour sa tinquiete pas x) Oublie pas ton livre <3 sur le bord de l'eau avec un livre LE RÊVE hihi ^^ à tantôt Ohhh moi ma loupiote m'inspire trop c'est pas croyable ...]

| J'avoue ! I love you

Bwaf, moi c'est de faire partir le
dialogue qui fait toujours un post plus dur à faire... Tk,
j'vais essayer de pas trop te décevoir <3 !

Bon là faut vrmt que j'y aille sinan j'avais vous faire
patienter d'vant chez moi ! Allez, à la bouffe SheeShee !|

[ Et on stop le flood aussi xD j'attend ton post <3 ]

Pluie incessante déchirant le ciel acclamé de la symphonie d'un ciel en furie. Le vent jouait avec les troubles du ciel, fesant dévier un nuage orageux par ci et délogeant un oiseau bien téméraire de son vent bien portant. La pluie est une forme bien étrange de la nature, ce qui n'est point un être n'en est que plus intéressant et comme dit plutôt, tout ce qui avait un minimum d'intérêt autre que ce sentiment parfois beaucoup trop démonstrateur de simple curiosité élevait dans le coeur de Vey l'impression qu'il devait ouvrir les yeux. L'intérêt n'étant pas la curiosité, il regardait le ciel qui avait autrefois fait preuve de telle fougue bien des fois mais il observait. Car des questions se posent dans le creux de son esprit comme une plume sur les vallons de vent pour ensuite se déposer comme un soupçon de douceur ce qui constituait, pour le moment, le seul détail égayant ses pensées.

Perdu.

Perdu dans les trémolos de ses souvenirs, étranglé par les lointains remords et angoissé par l'espoir de revoir un visage familier. Mais c'était bien loin, tout cela, car, malheureusement, bien peu le reconnaîtrait...lui.

Il posa alors son regard de bronze sur la louve à ses côtés. Il se dégageait d'elle un quelque chose qui s'appellait un passé, un passé qu'elle se répugnerait très certainement à raconter à un loup tel que lui. Une émotion de thébaïde féroce semblait émanée de cette louve qui à ses yeux ne possédait point de nom. Elle se dressait sous les torrents, la taille finement ciselée par les gouttes d'eau. Tout en elle émanait bien plus qu'un passé ou simplement cette impression que la légende dont elle avait le personna avait tracé sur elle les lignes d'un script bien précis, ou du moins, les traits de son visage semblait touché par les sentiments. Un sentiment qu'elle tentait de lui voiler. Un sentiment exilé aux coins de ses lèvres, condamné à ne jamais étirer ce visage si tendre et particulièrement délicat. Cet air de recul, il le conserva dans son coeur avec un respect qui n'était peut être pas réciproque. Ayant connu un monde saturé par les âmes perdues, Vey avait connu la peur, la haine et la tristesse. Il y avait bien plus et beaucoup trop sur ce visage si jeune.

Assis sur les gallets qui l'avait tant hynoptisé, son regard croisa le sien puis se dégagea lentement pour fixer un ciel cotoné de gris en perpétuel mouvement. Comme si la fin du monde nous faisait l'honneur de son dernier spectacle alors que cette pluie n'était rien dautre qu'une bonne averse.

« Un dialogue a-t-il besoin de mots ? »

Sa voix possédait les particularités sinistres de l'écho se répercutant sur les parois d'une grotte bien noire. Elle était grave et s'attribuait bien au personnage qu'il était car elle était rauque et rocailleuse, ridée par le temps mais pourtant si belle tant par l'impression de profondeur qu'elle dégageait et la confiance qui semblait en émanée. Une voix de conteur éperdu de ses histoires, une voix de loup se perdant dans la houle d'un récit bien beau. Tel un ménestrel. Ô, mais il n'en était pas un. Son corps lui ordonnant la retraite, il évitait de voyager bien que son coeur ne demandait que nouveaux panoramas et exaltantes épopées...

[ OO je capote c'est ton plus beau
Je te réponds un autre tantôt où je pourrais t'égaliser , sinon faire un beau texte =) ]